Robert, enfant de mon village, Retourne garder tes moutons |
BÉRANGER
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Vieux caporal |
mouton |
Robert Sorbon s'est immortalisé par la maison qu'il a fondée, et qui porte son nom |
DIDEROT
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Opin. des anc. philos. (scholastiques). |
porter [1] |
Rien de Robert ne me plaît que lui-même ; C'est sa valeur et ses grâces que j'aime |
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Ce qui plaît aux dames. |
son [1] |
À ce discours que l'on n'attendait pas, Robert glacé laisse tomber ses bras |
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Ce qui plaît. |
tomber |
Robert Guiscard et ses frères vont en pèlerinage à Rome le bourdon à la main |
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Moeurs, 39 |
bourdon [1] |
L'illustre Robert Boyle avait longtemps tenu de l'eau dans une cornue à un feu égal |
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Newt. I, 8 |
cornue |
Robert engagea à Guillaume le Roux la Normandie pour subvenir aux frais de son armement |
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Moeurs, 54 |
engager |
[Robert] Remercia du décret lénitif, Prit congé d'elle et partit tout pensif |
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Ce qui plaît aux dames. |
lénitif, ive |
Le plus politique de tous ces croisés et peut-être le seul, fut Bohémond, fils de ce Robert Guiscard conquérant de la Pouille |
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ib. |
croisé [2] |
Sous Hugues Capet, Robert, Henri et Philippe, on n'appela Français que les peuples en deçà de la Loire |
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Dict. phil. Franc, France. |
français, aise |
Robert Wells, animé du désir de venger la mort de son père, se précipita inconsidérément au milieu de l'armée du roi, où il fut enveloppé |
DUCLOS
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Louis XI, Oeuv. t. II, p. 409, dans POUGENS |
inconsidérément |
Robert II [de la Mark] s'y raccommoda [avec la France], puis s'outrecuida jusqu'à dénoncer la guerre à l'empereur |
SAINT-SIMON
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167, 228 |
outrecuider |
Dans son chemin, dès que Robert trouvait Ou femme ou fille, il priait la passante De lui conter ce que plus elle aimait |
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Ce qui plaît, etc. |
passant, ante |
Robert [comte d'Auvergne] lui-même était poëte, et échangeait des sirventes avec Richard Coeur de Lion |
CHATEAUBRIAND
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Voir Clermont. |
sirvente |
Son esprit [du prince Robert] était sujet à quelques travers, dont il eût été bien fâché de se corriger |
HAMILTON
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Gram. 10 |
travers |
Robert Guiscard, duc de la Pouille, mourut à Zante en allant en Palestine ; on lui avait prédit qu'il trépasserait à Jérusalem |
CHATEAUBRIAND
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Itin. part. 1 |
trépasser |
Les peuples, les courtisans même se séparèrent du roi [Robert excommunié] ; il ne lui resta que deux domestiques, qui purifiaient par le feu toutes les choses qu'il avait touchées |
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Dict. phil. Yvetot. |
purifier |
Le lavoir foncé de fer et percé de petits trous, inventé par M. Robert, sera très utile pour les mines mêlées de terre grasse et attachante |
BUFFON
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Min. t. IV, p. 112, note e. |
lavoir |
Martine : Il me plaît d'être battue. - Robert : D'accord. - Martine : Ce n'est pas à vos dépens |
MOLIÈRE
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Méd. m. lui, I, 2 |
dépens |
Le duc Robert fit hommage de la Sicile même qu'il n'avait point encore, il se déclara feudataire du saint-siége pour tous ses États, promit une redevance de douze deniers par chaque charrue, ce qui était beaucoup |
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Moeurs, 40 |
feudataire |
Le roi a fait commandement à l'abbé Bois-Robert de sortir de Paris pour divers jurements qu'il avait proférés du nom de Dieu, après avoir perdu son argent contre les nièces de son Éminence [Mazarin] |
PATIN
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Lett. t. II, p. 179 |
jurement |
Le Trésor latin de Robert Estienne, et, à son défaut, le Dictionnaire de Charles Estienne qui est l'abrégé du Trésor, et dont un habile maître ne peut se passer |
ROLLIN
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Traité des Ét. I, 3 |
trésor |
Il suffit que cette hérésie d'Orléans dont Étienne fut l'un des auteurs, dont le roi Robert vengea les excès, et dont Glaber nous a raconté l'histoire, soit reconnue pour manichéenne par Vignier |
BOSSUET
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Var. XI, Hist. des nouv. manich. |
manichéen, enne |
Ce fut bien pis quand le roi [saint Louis] eut la faiblesse de permettre qu'il y eût dans son royaume un grand inquisiteur nommé par le pape ; ce fut le cordelier Robert qui exerça ce pouvoir nouveau d'abord dans Toulouse, et ensuite dans d'autres provinces |
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ib., 63 |
inquisiteur |
Un pape avait excommunié Robert pour avoir épousé sa parente ; et un autre pape excommunia Philippe pour avoir quitté sa parente |
VOLTAIRE
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Moeurs, 39 |
quitter |
Anciennement, taille-douce était un terme d'orfévrerie, et signifiait la gravure au burin et en hachure sur les pièces de vaisselle ; ni Robert Étienne, en 1539, ni Jean Nicot, en 1606, n'ont admis cette expression ; Monet, en 1635, la prend encore dans le sens de travail d'orfévrerie, sans application à l'expression : tailler en taille-douce ; c'est dans le XVIIe siècle seulement qu'on distingua, dans le commerce des estampes, les épreuves de la gravure en taille-douce de celles que fournissent les travaux de la pointe sèche, les eaux-fortes et les tailles de bois en relief |
DE LABORDE
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Émaux, p. 510 |
taille |